Comment répondre à l’urgence IT !
Quelle est votre définition d’urgence IT ?
Par défaut la définition d’une urgence IT doit être liée au business/métier inhérent. C’est donc lorsque le business ne peut se faire à cause d’une ressource informatique, au sens large. Il y a généralement 2 types d’urgence :
- Celle où le travail est rendu impossible
- Et celle correspondant à une perte d’efficience qui dégrade les conditions de travail (subjectif)
Plus l’informatique est sollicitée dans la production, et plus une panne ou une malfonction IT peut avoir de lourdes conséquences.
Les exemples les plus représentatifs seraient un site e-commerce qui ne permet pas de valider son panier et d’accéder au paiement, un commercial qui ne peut pas créer un devis, un logiciel de gestion de planning trop lent, mais aussi des services réseaux intermittents.
Mais ce sont aussi des effets moins visibles. Par exemple un logiciel de gestion de logistique qui ne fonctionne pas et qui empêche des camions de partir ou de livrer l’usine faute de générations des bons de livraison.
Chez un de nos clients qui utilise des commerciaux itinérants, ceux-ci ne parvenaient pas à utiliser l’application en raison de sa lenteur, et devaient intégrer l’ensemble des commandes à un autre moment de la journée !
Comment s’en rendre compte et y répondre ?
Ce sont, malheureusement, souvent les plaintes utilisateurs qui déclenchent l’urgence. Lorsqu’elles deviennent nombreuses, elles poussent les décideurs à agir pour gérer une situation qui n’est plus tenable.
Un nouveau leadership pousse alors à régler le sujet avant qu’il ne se transforme en une véritable crise.
Quel est le bon réflexe en cas d’urgence ?
Le premier réflexe c’est la mesure, et le constat factuel associé au problème. Ce constat passe par un déploiement rapide de la solution MIP, qui est possible grâce à sa nouvelle version.
Ce déploiement est très rapide. En 24h, il peut être réalisé et un constat ainsi qu’une stratégie de mesure peuvent être présentée à l’organisation.
L’accompagnement est décisif. Parce qu’il est nécessaire d’avoir une expérience de gestion de ces moments de crise pour apporter une solution qui soit utile et efficace. Il est aussi important d’avoir une vision impartiale du problème, qui soit neutre par rapport à toutes les parties prenantes.
Et ce qu’il ne faut pas faire ?
Il faut éviter de toujours être dans la réaction, mais plutôt dans la proactivité.
Une fois l’urgence réglée il faut mettre en place un contrôle régulier pour s’assurer que le problème ne réapparaisse pas, et surveiller son application sur le long terme, et s’assurer qu’on a bien pris les bonnes décisions pour prévenir les crises à venir.
Une révision régulière de la stratégie de mesure (les applications évoluent) et de la stratégie d’alerte est primordiale.